"Entre conservateurs synthétiques, formules diluées à plus de 60 % d’eau, procédés qui dégradent les actifs et présence de perturbateurs endocriniens dans nos produits du quotidien, j’avais ce profond sentiment de déconnexion avec l’essence même de la cosmétique : célébrer la nature, sa puissance et sublimer la beauté naturelle des femmes et des hommes."

Je travaille depuis plus 15 ans au développement des Départements français
d’Outre-mer, et en particulier des filières agricoles réunionnaises de la viande et du lait que j’ai dirigées pendant 10 ans.

Juste rémunération des producteurs, organisation des filières, accompagnement des producteurs locaux, développement d’une agriculture plus juste et moins
impactante sur le plan environnemental, mise en place de filières bio, … autant de sujets qui sont au cœur de mon engagement personnel et professionnel quotidien !

Touchée personnellement par le sujet des perturbateurs endocriniens présents dans nos produits d’hygiène-beauté, c’est
donc tout naturellement que j’ai souhaité m’investir et apporter ma pierre à l’édifice d’une autre filière qui me tenait particulièrement à cœur, car aussi
importante pour notre santé que notre alimentation : les cosmétiques. Et ce, avec la ferme ambition de réussir à allier deux combats qui me sont chers : la valorisation
de nos producteurs locaux, et la démonstration qu’il est possible de réconcilier naturalité d’une part et efficacité et sensorialité d’autre
part, en produisant autrement.